Sosthène Baran

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    Peintures

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    I WANT TO BELIEVE, 2022. Série de monotypes à l’huile sur papier et aimants, 70 x 50 cm, 45 x 33 cm.


    GROOM LAKE, 2022. Huile sur tissus et bois, 40x52 cm.


    SANS TÊTES, 2021. Huile sur toile, céramique émaillée et bronze, 50x83x8 cm.


    SUNN /, 2022. Huile sur toile, bois et fer, 46x63 cm


    GORGE PROFONDE, 2022. Huile sur carton, bois et bouton, 40x30 cm.




    TROMBINOSCOPE, 2022. Pigment, gouache et huile sur 45 panneaux de bois en trois volets. 190 x 91 cm.


    DESSOUS, 2022. Enduit, pigment et huile sur bois. 75 x 104 cm.


    CHAMBRE 3, 2022. Acrylique, huile sur carton et clous. 30 x 40 cm.



    CHAISE KASPAROV, 2022. Acrylique et huile sur bois, plateau d’échec, acier et bois. 113 x 36 x 39 cm.


    SOUFFLE, 2022. Acrylique et huile sur toile et bois. 70 x 50 cm.


    CHAMBRE 116, 2022. Acrylique et huile sur toile. 50 x 40 cm.


    BATHING WOMEN, 2021. Huile sur bois. 70 x 50 cm.


    CHAMRE 1, 2022. Enduit, huile et pigment sur bois et croquis. 140 x 90 cm.


    SANS TITRE, 2022. Acrylique et huile sur bois. 40 x 60 cm.


    SANS TITRE, 2021. Enduit, acrylique et huile sur une tête de lit. 190 x 140 cm.


    SANS TITRE, 2021. Acrylique et huile sur bois et tissus. 200 x 130 cm.


    SANS TITRE, 2021. huile sur bois. 140 x 100 cm.


    SANS TITRE, 2021. Acrylique, enduit et huile sur bois. 107 x 62 cm.


    TURIN, 2020. Acrylique et huile sur toile, 40 X 30 cm.


    BETELGEUSE, 2020. Huile sur plan de travail Ikéa. 60 x 40 cm.


    APOLO, 2021 Acrylique et huile sur toile. 30 x 40 cm. Collection privée


    THOM, RIP, 2019. Acrylique et huile sur toile. 75 x 50 cm.


    CONDUIT, 2021. Dyptique, huile sur bois. (2 x) 15 x 20 cm.


    T1000, 2021. Acrylique et huile sur toile. 75 x 50 cm.


    SANS TITRE, 2021. Enduit, acrylique et huile sur bois. 44 x 50 cm. Collection privée.


    DOUBLE, 2020. Acrylique et huile sur plexiglass. 40 x 25 cm.


    ASTRONAUTES, 2021. Acrylique et huile sur toile. 65 x 40 cm.


    SANS TITRE, 2019. Enduit et huile sur toile. 60 x 40 cm. Collection privée.


    DRAPÉ, 2019. Acrylique et huile sur toile, 30 X 20 cm. Collection privée.


    ANTIFER, 2016. Huile sur bois. 60 x 45 cm. Collection privée.


    SANS TITRE, 2019. acrylique et huile sur toile. 20 x 20 cm.


    LA PORTE, 2021. Enduit, acrylique et huile sur bois. 140 x 100 cm.


    SANS TITRE, 2021. Acrylique, huile sur toile et tissus. 22 x 16 cm. Collection privée.


    LA MADONE DU GRAND DUC 2, 2020. Huile et silicone sur bois. 31 x 45 cm.


    LA MARCHE, 2020. Acrylique et huile sur toile. 50 x 75 cm.


    MIRAGE, 2019. Dyptique, huile sur toile. 90 X 75 cm.


    RIP, 2020. Huile sur toile. 14 x 9 cm.


    SANS TITRE, 2021. Huiile sur bois. 40 x 40 cm.


    SANS TITRE, 2021. Huile sur bois.38 x 36 cm.


    TUNNEL, 2020. Enduit et huile sur carton toile. 21 x 30 cm.


    AURA, 2022. Acrylique et huile sur toile. 75 x 50 cm.


    DOUBLE 2, 2022. Acrylique et huile sur bois. 25 x 21 cm. Collection privée.


    UBU, 2020. Enduit et huile sur toile. 60 x 40 cm.



    Expositions

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    Expositon collective "Thequickbrownfoxjumpsoverthelazydog", curateur Vincent-Michaël Vallet pour le 4 artistrunspace avec Hugo Capron, Alice Quentel, Charlotte Delval, Kun Kang, Marie Pic, Yohann Philouze, Delphine Dénéréaze, Julie Jackson, Robin Immelé en septembre 2022 au b612 à Rennes(35).


    Expositon collective LCDLK à l'Usine Utopik (centre d'art) en septembre 2022, Tessy-sur-vire (50).












    Vues de ANTIFER, exposition personnelle à L’ACADÉMIE / LE SHED en mars 2022 à Maromme (76). Curateur Sosthène Baran et Jonathan Loppin. Photographies © Marc Domage





    Vues de DIVINITÉS, FLEURS, PLIS ET REPLIS, juin 2021, exposition collective à Les Bains-Douches à Alençons (61) avec Arthur Marie, Thomas Gaugain, Jade Moulin, Léa Nugue, Alice Quentel et Camille Soulat. Curatrice Sophie Vinet , photographies © Romain Darnaud.





    Vue de l'exposition RE-PEUPLER NOS MONDES, en mai 2021, Curatrice Sarina Basta. Galerie de l’ESAM, Caen.



    Vue de l'exposition MANIÈRE D’HYBRIDER DES MONDES , en novembre 2020, Curateur Matthieu Lelièvre, Eglise St Nicolas de Caen.

    À propos

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    Portfolio (en ligne)

    CV (pdf)


    Biographie



    Sosthène Baran est né en 1990 à Blois, il vit et travaille à Caen et Paris où il obtient sont DNSEP en 2020 aux beaux- arts de Caen. il pratique la peinture et la sculpture après des formations de cuisinier, peintre en décor et de graphisme.

    L’œuvre prend naissance par strate, souvent par le croquis, la manipulation sur le vif ou parfois la modélisation 3d successivement ou non.Les éléments plastiques qui apparaissent sont alors immergésdans un univers singulier et lumineux proche du mirage.

    La science-fiction, le surnaturel, les extraterrestres, les récits religieux et l’apparition de manière global sont les principaux thèmes abordés dans mon travail. Ils ont donné naissance à l’élaboration d’une spiritualité hybride.


    Textes



    « Ce détachement du réel, Sosthène Baran le cherche tout autrement. À l’affut d’une trace non-volontaire déposée sur la toile qui ferait signe malgré elle, le peintre est en quête d’une image qui ne s’énonce pas. Dans ses tableaux silencieux, les ombres passent, les silhouettes glissent et les fantômes se devinent. Même les cadres sont contaminés par cette évaporation latente, comme si la matière picturale habitée d’une force entropique absorbait tout à son entour, livrant et régurgitant ponctuellement des apparitions à sa surface. Traversé tant par les récits SF que par ceux d’inspiration mythiques, Sosthène Baran semble se livrer à un corps-à-corps ésotérique avec l’acte de peindre, cherchant à « atteindre quelque chose comme une peinture extraterrestre ». Les éléments chinés au hasard de ses dérives – porte, battant de bois, cadre de fenêtre, tête de lit – deviennent ses supports, dans un geste motivé tant par un désir de surgissement à l’endroit des choses déchues, que par une économie de moyens. Son travail de préparation des fonds, hérité de son activité de peintre-décorateur, fonctionne comme un mantra, un instrument de vision où les altérations successives de l’aplat, entre violence et douceur des frottements, ponçages et griffures, aspirent à l’inamissible. Une quête vaine tant les mirages semblent fragiles. En cela, la peinture de Sosthène Baran tient du fantastique, elle persiste dans une forme d’indécision, ne cherchant pas à inventer un monde, mais bien à interférer avec le déjà-là. »

    Texte de Elena Lespes Mũnos pour la revue in-sert n°1 par RN13bis sortie en Septembre 2022."



    « Presque inconsciemment, on s’aperçoit que l’atmosphère fait que ce qui a trait à la réalité s’ opacifie par la part de fiction masquée dans les formes. Dès lors, le réel comme vecteur d’images devient une matière floue et manipulable. Construite sur un régime poétique, cette matière imprime des fictions qui se fondent dans les gestes et leur apparition. Les peintures de Sosthène Baran témoignent de tentatives de décollement du réel, leurs couches picturales, au caractère auratique, révélant des figures flottantes, »

    Texte de Fiona Vilmer pour l’exposition en ligne DATA-BAT avec les Bains-Douches à Alençon (61)."



    « J’aime regarder le travail de Sosthène Baran.

    J’aime le regarder, pas seulement pour y voir les traces d’une figuration ou d’une fiction en devenir. Pas seulement pour y déceler dans l’abstraction le reflet d’un sentiment ou les restes d’un paysage fantasmé par la mémoire du peintre et qu’il chercherait à retrouver.

    On y trouve tout cela bien sûr, dans la richesse des tons et derrière les brumes couvrant les visages, les reliefs ou les astres. Mais ce que j’aime par-dessus tout dans la contemplation des œuvres de l’artiste, c’est la qualité de présence qui s’y trouve. Derrière les ruines, les corps presqu’effacés, les ciels d'éruptions, les matins pleins de promesses et les ombres d’objets volants non identifiés se trouve quelque chose. Quelque chose d’indescriptible, quelque chose d’incommunicable autrement que par la peinture, quelque chose qui se tient de l’autre côté du dicible.

    Pour moi, regarder un tableau de Sosthène Baran c’est ouvrir les yeux sur une expérience qui ne se qualifie que par elle-même. C’est une fenêtre ouverte sur un autre plan du monde que d’autres ont cherché sur les routes d’Orient, dans les méditations, les prières ou les psychotropes ᅳ j’en ai fait partie... Un écho résonne sur les surfaces de bois ou de toile dans un calme profond et vibrant qui dit ces bouts de notre monde que les mots ne peuvent atteindre.

    Car ce n’est pas le calme du rien qui irradie des tableaux à l’huile de l’artiste, ce n’est pas le genre de calme d’un dimanche après-midi de pluie branché sur une radio jazz lo-fi. C’est un calme d’une profondeur sans nom, une ouverture à la présence qui naît d’une acceptation profonde du monde et qui permet de voir le tout. Que ce soit dans les peintures aux tons pastels ou dans les tableaux plus angoissés, un espace est ouvert permettant d’atteindre la contemplation. L’artiste regarde, calmement, les états intérieurs et extérieurs avec le regard de celui qui accepte tout, même ce qu’il ne comprend pas toujours. Le travail de Sosthène Baran propose plus qu’il n’impose ᅳ ce qui ne lui enlève rien de son pouvoir d’attraction, au contraire.

    Pour apprécier la profondeur de sa peinture, il n'est pas nécessaire de le voir à l'œuvre. Mais des passages récurrent dans son atelier ᅳ au milieu des plaques et des chutes de bois, des cadres, des morceaux de meubles qu’il désosse et réassemble, dans l’odeur de la peinture à l’huile qui s’étale en nuances sur l’immense palette ᅳ m’ont mis sur la piste de ce que l'artiste recherche. Car c’est bien dans une position de chercheur qu’il travaille. Il est de ceux qui essaient de voir à travers les voiles de la réalité. Comme un prospecteur, comme un spirituel, il ne connaît pas le chemin. Il le découvre au fil des jours à travers une nouvelle couche d’enduit, une touche de peinture posée sur une œuvre avant d’en poser une autre ailleurs.

    Sosthène ne sait pas où il va. En toute humilité, il laisse sa peinture le guider et non le contraire. Ses réalisations changent de visage au gré du temps en suivant non l’égo du peintre mais ce qu’elles sont, ce qu’elles lui disent. Jusqu’au moment, presque magique, où elles se découvrent ce qu’elles sont : complètes dans le silence du tout et dans la vibration des possibles.

    Texte intitulé “De la vibrance du calme et du présent” de François Gremaud écrit en octobre 2022.



    Parcours



    2020 - DNSEP, option art, ESAM, Caen (14).

    2018 - DNAP, option art avec mention, ESAM, Caen (14).

    2017 - Diplome de concepteur graphique, EPSAA, Ivry sur seine (94).

    2014 - Cours du soir en Gravure Édition, école Dupérrée, Paris (75).

    2012 - Diplôme en Peinture Décorative, INFA , Tremblay en France (93).


    Expositions



    2022 - Exposition collective The quick fox brown jumps over the lazy dog du 23/09 au 30/10 curateur Vincent-Michaël Vallet pour Le 4ème étage, au b612 à Rennes(35).

    2022 - Exposition collective LCDLK du 2 Septembre au 30 Octobre 2022 à l'USINE UTOPIK à Tessy sur Vire (50).

    2022 - Exposition personnelle "ANTIFER" du 26 février au 24 avril 2022 au SHED, L'ACADÉMIE à Maromme (76).

    2021 - De Visu, décembre, Le Radar, Espace d’art actuel, Bayeux (50)

    2021 - Exposition collective Divinités, fleurs, plis et replis, curatrice Sophie Vinet, Les Bains-Douches, Alençons (61).

    2021 - L’horizon soupire expositions collectives curatées par le collectif À VENIR visibles dans les vitrines à Caen (14).

    2021 - Exposition Bruit Blanc, fin de résidence, mars, Labo des Arts, Caen (14).

    2021 - Exposition collective "Re-peupler nos mondes..." curatrice Sarina Basta, février, Galerie de l'ESAM (14)

    2020 - Exposition collective en ligne DATA-BAT, Les Bains-Douches, Alençons (61).

    2020 - Exposition des diplômé(e)s 2020 ÉSAM/ESADHAR/ENSA, novembre, Curateur Matthieu Lelièvre, Eglise st Nicolas, Caen (14).

    2020 - Exposition duo Baran/Baran, septembre, Carentan (50)

    2020 - Participe au prix Juvenars 2020, septembre, Paris (75).

    2020 - Exposition virtuelle "fin de résidence/cave/covid-19" au sous-sol du 57 rue de Geôle, Caen (14).

    2019 - Exposition Joyeux Noël, invité par Herveline Geffrault, Caen (14).

    2019 - Sélectioné et exposé au Prix de peinture Novembre à Vitry, galerie municipale Jean Collet, Vitry sur Seine (94).

    2017 - Installation collective pour le festival Spin Off, Paris (75).

    2016 - Exposition collective à la galerie AAB, Paris (75).

    2013 / 2014 / 2015 - Journée de l’estampe, Paris (75).


    Résidences



    2023 - Résidence à la Villa Belleville, Paris (75).

    2023 - Résidence à la Cité Internationale des Arts, Paris (75).

    2020 - Résidence au Labo des Arts, Caen (14).


    Bourses



    2022 - Aide individuel à la création, DRAC Normandie.

    2021 - Lauréat du Fonds de Soutien création Artistes Plasticiens, ville de Caen (14).

    2020 - Lauréat de la bourse de recherche et de création RN13bis.


    Publications



    2022 - Texte de Elena Lespes Mũnos pour la revue in-sert n°1 par RN13bis.

    2021 - Divinités, fleurs, plis et replis, Les Bains-Douches édition par Sophie Vinet et Fiona Vilmer, texte Bliss de Fiona Vilmer, conception Martha Salimbeni.

    2021 - 100 ARTISTES / 2021 NORMANDIE / RN13BIS Restitution de l’appel à contributions « État d’urgence » 2020



    Contact

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    News !

    Prochainement deux résidences à Paris. Une à la Cité internationale des Arts de janvier à Mars 2023 et à la Villa Belleville de avril à juillet. N'hesitez pas à me contacter pour passer me voir pendant les résidences !



                

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